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L’infertilité touche environ 15 % des couples en âge de procréer en Europe. De nombreux facteurs sont impliqués dans cette baisse de la fertilité : l’âge mais également des facteurs environnementaux et nutritionnels.
Aujourd’hui les grossesses tardives sont de plus en plus fréquentes. Toutefois la dissociation qui existe entre âge physiologique (ou biologique) et âge chronologique, a un impact déterminant sur le succès et le bon déroulement d’une grossesse. La mesure de l’âge physiologique, qui peut être évalué par différents tests de biologie fonctionnelle et nutritionnelle, permet d’identifier les paramètres à optimiser pour assouvir un désir d’enfant. Par ailleurs, des facteurs nutritionnels et fonctionnels sont également fortement impliqués dans le déroulement harmonieux d’une grossesse, tant pour la santé de la mère que pour le développement optimal de l’embryon et du foetus. Leur évaluation permet donc la mise en place d’un accompagnement nutritionnel à fin d’optimiser le déroulement de la gestation.
La biologie fonctionnelle et nutritionnelle, propose une aide :
- Dans le cadre de prise en charge préventive : pour une optimisation de la croissance foetale et une bonne santé de la mère ;
- Dans les orientations thérapeutiques des infertilités : pour une correction des déficits et déséquilibres sous-jacents.